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Browsing by Author "Danglades, Mylène"

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    La caricature ou le mystère des mots bourdonnant aux oreilles dans Le Nègre du Gouverneur de Serge Patient
    (Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II, Wydawnictwo Werset, 2020) Danglades, Mylène
    La caricature, dans sa représentation la plus élémentaire, dans sa polysémie ou ses multiples extensions, fait référence à la charge, au « faix du fagot » amenant l’homme à gémir, à ployer et à marcher courbé « à pas pesants ». Les écrivains, tels des humoristes ou des peintres de la vie moderne, s’emploient à combiner les normes de la représentation et à distordre les mots pour souligner l’animalité de l’homme. Serge Patient, dans sa chronique intitulée Le Nègre du Gouverneur publiée en 1978, nous propulse dans le temps, dans l’imaginaire collectif guyanais et nous invite notamment à nous focaliser sur l'esclave noir D’Chimbo. Il appartient alors au lecteur de décrypter les données, de les rectifier ou de les blâmer en riant brutalement ou en domestiquant son rire. Les rires apaisés ou ravivés et les mots bourdonnant plus faiblement aux oreilles, quel langage et quels poncifs pourraient encore se dessiner?
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    La vanité ou le miroir des faux-semblants dans Chaque heure blesse de Raoul Danaho
    (2018) Danglades, Mylène
    La vanité, dans sa représentation la plus générale, nous invite à arrêter quelques instants notre course en avant, à mettre de côté nos divers agissements et à nous interroger sur notre destinée. La littérature, la peinture se focalisent souvent sur la fragilité de la vie. Elle est comparée à un souffle, à une vapeur qui paraît pour peu de temps. Les biens terrestres, les plaisirs mondains paraissent vains et éphémères et la quête incessante de l’homme toute aussi illusoire. Raoul Danaho, dans son roman Chaque heure blesse, publié en 1968, évoque l’histoire d’un jeune homme qui cherche sa propre identité et sa propre place dans le monde. Albert, cet homme originaire de Cayenne, s’est retrouvé à Paris, mais il n’y trouve pas la tranquillité souhaitée. La vie ne présente aucun attrait à ses yeux. Il doit « s’efforcer de vivre ». Il se sent vide, incapable de fusionner avec le monde environnant et l’écriture de Danaho devient par là même fragmentaire comme pour « réfléchir » la vanité de l’existence. Albert cherchera -t-il « vainement » à « poursuivre sa route », « ce tâtonnement dans le noir, cette marche aveugle dans la nuit » ou la rhétorique de la vanité se distendra-t-elle donc pour lui permettre de trouver une voie salutaire ? La Rochefoucauld énonçait avec une certaine acuité les propos suivants, renvoyant l’homme à lui-même, à ses semblables et au prisme réfléchissant: « Ce qui nous rend la vanité des autres insupportable, c’est qu’elle blesse la nôtre» (1664, 390). Nous sommes en droit de nous demander si la lumière parviendra à atteindre et à irradier le cœur humain.
  • Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II
    Dział Repozytorium i Pozycjonowania Wydawnictw
  • Al. Racławickie 14, 20-950 Lublin

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